Une pétition est lancée afin que justice soit rendue dans cette affaire, vous en prendrez connaissance dans ce précédent article : Justice pour la mise à mort par noyade d’une chatte

27 juillet 2016

La fondation 30 millions d’amis porte plainte à son tour et l’École du Chat libre lance un appel à témoins : avant la fin de l’été 2016 !

APPEL À TÉMOINS

L’École du Chat libre de Saintes et la Fondation 30 Millions d’Amis ont déposé plainte pour « acte de cruauté ».

Un couple aurait attrapé puis noyé une chatte libre et allaitante à Saintes (17). La Fondation 30 Millions d’Amis dénonce cet acte barbare et s’est constituée partie civile.

Le couple ayant reconnu n’avoir tué que cette chatte, l’École du Chat libre invite tout maître dont le chat aurait disparu de façon inexpliquée à venir témoigner au commissariat de Saintes avant la fin de l’été 2016. Une personne du voisinage aurait déjà signalé les blessures de ses chats et la disparition de 5 chats adultes.

Selon les témoignages des voisins, le piège était souvent présent depuis plusieurs années dans le jardin de ce couple mais aucun animal n’y avait été aperçu. Toutefois, plusieurs chats ont régulièrement disparu dans le quartier…

Merci de signer la pétition pour obtenir justice pour cette chatte martyrisée.

Elle a eu le malheur de passer par là et en a perdu la vie. Une chatte libre a été tuée par un couple d’octogénaires à Saintes, en Charente-Maritime (12/07/2016).

C’est une voisine qui remarque le calvaire d’un félin séquestré dans un piège illégal, posé dans un jardin du quartier Saint-Pallais : elle avertit alors la police.

A leur arrivée, les policiers municipaux découvrent la cage vide. Le couple, auteurs présumés du piégeage, commence par nier avant de désigner un sac poubelle caché derrière un bac à compost au fond du jardin : le corps de la chatte, déjà morte y est retrouvé. Elle aurait été noyée dans leur puits.

DES CHATONS ORPHELINS

« Les policiers l’ont sortie du sac car ils ne supportaient pas qu’elle ait été jetée dedans comme une vulgaire ordure… Ils l’ont ensuite emmenée au refuge pour vérifier son identification. Cette femelle n’était pas identifiée. Mais nous savons que c’était une jeune mère puisqu’elle était allaitante. Ses chatons n’ont pas été retrouvés et sont sans doute morts de faim en attendant le retour de leur maman… » explique Nadine Beaufreton, présidente de l’École du Chat Libre de Saintes.

Source : 30 millions d’amis

Suite de l’affaire  Justice pour la mise à mort par noyade d’une chatte