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Où partir en vacances avec son chat, son chien ?

Une mobilisation UNIQUE et INÉDITE
pour la première fois en France !

Quand le Bonheur des uns fait aussi le… Bonheur des autres.

club oscar

ÉTAT des LIEUX
45 % des propriétaires d’animaux de compagnie estiment encore difficile de trouver un hébergement touristique en France les acceptant avec leur chien. (Source Abritel)

 

12 abandons/heure en France avec 60 % des abandons en été
recul de 15 % des adoptions à la SPA depuis janvier 2018

Un double-constat qui conditionne
le double-objectif de cette campagne !

SENSIBILISER et AGIR pour ne plus devoir RÉAGIR !

 

C’est QUOI ?
Cette campagne initiée par le Club Oscar© a pour double objectif de contribuer à apporter un éclairage nouveau sur les hébergements touristiques véritablement pet friendly présents en France. Ces hébergements touristiques acceptent non seulement les animaux de compagnie de leurs hôtes mais s’engagent aussi à être des acteurs encore plus responsables et solidaires de l’adoption. Manière unique et inédite de lutter contre l’abandon, sensibiliser et agir pour ne plus avoir à réagir, tel est l’enjeu ambitieux de cette opération coup de gueule chien-pathique.

C’est COMMENT ?
Pour chaque forfait animalier réservé au sein d’un hébergement touristique, 1 € est reversé à l’Arche des Associations. La somme collectée* à l’issue de la période permettra à des associations de protection animale de l’Arche des Associations, dont notre association Au Chat Zen fait partie, de subvenir aux besoins des animaux, victimes de l’abandon cet été. Elle permettra également de procéder plus facilement à leur placement dans un nouveau foyer aimant et respectueux.
Pour en finir avec la spirale estivale infernale  de ces abandons de masse :

Un chien/un chat ⇒ vacances = contraintes ⇒ abandon…

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Afin que chaque client des établissements participants puisse aussi se faire l’ambassadeur, le témoin auprès des 45 % de ceux qui estiment encore difficile de trouver un hébergement touristique pet friendly en France, des selfies-partages leur sont suggérés pendant la période pour être diffusés sur les réseaux sociaux.

poster sites et paysages arche été 2018C’est QUAND ?
Campagne du 2 juin au 2 septembre 2018
Pourquoi le 2 juin ? C’est la journée mondiale pour un tourisme responsable et respectueux, le choix de cette date n’est donc pas fortuit !

 

Tourisme : Responsable et Respectueux

 

C’est OÙ ?
En France avec 83 adresses participantes.

C’est avec QUI ?
Pour cette première inédite, le CLUB OSCAR© a sélectionné deux partenaires nationaux, reconnus pour la qualité de leurs engagements, voire fidélité.
Ces deux acteurs sont le groupe de résidences de vacances GOELIA et le réseau de campings SITES et PAYSAGES.

carte goelia arche opération été recto

Qui sont-ils ?
Partenaire historique du CLUB OSCAR, le groupe de résidences de vacances GOELIA a été l’un des premiers à solliciter, aux origines du Club Oscar©, le souhait de figurer parmi les hébergements touristiques pet friendly.
Les 62 résidences du groupe GOELIA accueillent partout en France les animaux de compagnie de leurs hôtes. Une remise de 10% sur l’ensemble du séjour est également accordée aux abonnés du Club Oscar sur présentation de leur carte de membre ou d’un code privilège. De quoi rendre les vacances encore plus chienpathiques et économiques.
Le groupe GOELIA est un acteur important du marché et une solution adaptée pour des vacances toutous réussies à 2 pieds et 4 pattes.

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Le souhait commun du CLUB OSCAR©, du groupe GOELIA et du réseau SITES et PAYSAGES :

 

Que les abandons d’hier soient les adoptés d’aujourd’hui
et les futurs vacanciers 
à 4 pattes et 2 pieds de demain !

 

C’est avec QUOI ?
Pour chaque hôte ayant acquitté un forfait animalier, une carte postale et une friandise en guise de cadeau d’accueil sont offerts. L’entreprise VITAKRAFT a accepté de faire une dotation gracieuse en friandises pour accompagner cette opération.

*Somme collectée plafonnée aux 1000 premiers forfaits animaliers enregistrés sur la période du 2 juin au 2 septembre 2018.

 

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1er DU en droit animalier, session supplémentaire, inscriptions ouvertes !

La première session du diplôme universitaire en droit animalier de l’Université de Limoges a connu un grand succès en septembre 2016. Devant le nombre de demandes, une session supplémentaire s’ouvrira en janvier 2017. Les 54 heures de cours seront dispensées les deux dernières semaines de janvier sur le campus universitaire de Brive la Gaillarde.

Cette formation permet à la fois d’acquérir les connaissances de base en droit animalier et d’inciter à la réflexion dans une approche intellectuelle riche, intégrant à la fois une dimension philosophique, anthropologique et une approche juridique tant nationale, qu’européenne ou internationale.

Cette formation s’adresse en priorité aux décideurs politiques, magistrats, avocats, et surtout aux étudiants (à partir du niveau bac+2) promis à devenir demain nos futurs juristes, responsables politiques, responsables d’associations de protection animale, vétérinaires et inspecteurs vétérinaires.

Pour postuler, envoyez votre lettre de motivation et CV avant le 15/11/2016 à :

lucille.boisseau-sowinski@unilim.fr

Consulter les objectifs détaillés et modalités de candidature

Contact
Lucille Boisseau-Sowinski
Maîtresse de conférences à l’Université de Limoges
lucille.boisseau-sowinski@unilim.fr

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Septembre 2016 : l’université de Limoges lance un diplôme pour défendre les animaux

Vingt-neuf élèves, de 21 à 61 ans, ont fait leur rentrée le 5 septembre pour obtenir un diplôme en droit animalier. Un cursus unique en France.

En apparence, c’est un cours de droit tout ce qu’il y a de plus classique. A ceci près que les exemplaires du code civil posés sur les tables sont estampillés du logo de la Fondation 30 Millions d’amis. Et que certains ordinateurs affichent les couleurs d’autres associations de protection animale : L214, le WWF ou Sea Shepherd. Sur le campus de Brive-la-Gaillarde (Corrèze), une antenne de l’université de Limoges, 29 étudiants suivent depuis lundi 5 septembre le premier diplôme universitaire (DU) en droit animalier de France. Deux semaines d’enseignement – 54 heures au total – dispensées par neuf professeurs de droit pour faire avancer la protection des animaux.

Le droit animalier est difficile à appréhender, dans la mesure où il touche à de nombreuses branches, qu’il s’agisse des droits civil, pénal, rural, environnemental, européen ou encore aux règles de bien-être, note Mme Boisseau-Sowinski, maîtresse de conférences en droit privé. Actuellement, il n’est jamais enseigné dans le cursus commun de la licence ou du master en droit. Seule exception, la faculté de Strasbourg délivre depuis un an des cours de droit animal, mais dans le cadre d’une spécialisation (animaux : sciences, droit et éthique) au sein d’un master plus général intitulé éthique et sociétés.

L’université française reste très en retard par rapport aux Etats-Unis, qui enseignent le droit animalier depuis une vingtaine d’années. « Les trois quarts des facs américaines proposent cette discipline, et l’université de Lewis & Clark, à Portland (Oregon), a même un master uniquement consacré à cette question », indique Olivier Le Bot, professeur de droit public à l’université d’Aix-Marseille, qui intervient dans le master de Strasbourg et le nouveau diplôme de Limoges.

Les débouchés ne sont pas assez importants pour créer un master à part entière, juge de son côté Lucille Boisseau-Sowinski. Les responsables juridiques d’associations ou les avocats qui prennent des dossiers de droit animal le font en général en parallèle d’autres activités. C’est pourquoi notre diplôme, ouvert aux bac + 2, ne mène pas à un métier mais à des connaissances, une spécialisation complémentaire à un parcours.

Cookies végans en pays bovin

Conséquence de ce choix : une première promotion très hétérogène. Parmi les 29 admis – sur 83 candidatures reçues –, on compte 17 étudiants en formation initiale et 12 en formation continue, âgés de 21 ans à 61 ans et provenant de 17 départements. Une magistrate, des avocats ou un professeur de philosophie côtoient ainsi des étudiants en sciences politiques, en droit, en éthologie, des attachés territoriaux ou encore un comportementaliste canin. Un seul trait commun rassemble une majorité des élèves : 24 sont des femmes, pour seulement 5 hommes.

A la pause déjeuner, sur la pelouse de l’université corrézienne, la petite troupe débat de végétarisme en partageant des salades de quinoa et des cookies végans. Une scène inhabituelle, en plein cœur d’un pays d’élevage bovin. J’ai toujours été sensible à la question animale mais mon engagement remonte à l’époque où j’ai adopté un chien qui avait été battu, raconte Perrine Ferrer, dynamique doctorante de 26 ans, qui mène une thèse en droit de la famille à l’université Paris-1. L’humain ne peut pas s’octroyer un droit de vie ou de mort sur les animaux. C’est une conviction d’ordre philosophique, mais c’est par le droit que l’on peut faire changer les choses.

Or, juge-t-elle, la maltraitance animale n’est pas suffisamment punie aujourd’hui, car le droit animalier ne rencontre aucun écho chez les juristes, à part des rires. Quand l’étudiante a annoncé qu’elle suivrait le cursus de Brive, elle s’est vu rétorquer : Si cela vous fait plaisir, allez-y, mais pour votre carrière, cela ne servira à rien.

Plus qu’une ligne supplémentaire sur leur CV, c’est surtout la perspective d’une meilleure protection des animaux qui motive les étudiants. Tous sont des passionnés de la première heure, souvent militants. Comme Alice Rodriguez, 23 ans, titulaire d’un master 1 en éthologie à Paris-13, qui vient de fonder un collectif avec des amis du mouvement Nuit Debout pour organiser des débats et, à terme, créer des sanctuaires pour animaux. J’aime énormément les félins, raconte-t-elle. Je me suis rendu compte qu’ils étaient en voie d’extinction et qu’il fallait les protéger dans leur milieu sauvage.

250 à 1 050 euros la formation

Les chats, c’est aussi le rayon de Fabienne Cacciapaglia. Depuis sept ans, cette professeure de SVT dans un collège de l’Isère a pris en charge, dans le cadre de son association Les EntreChats, 750 félins errants qu’elle soigne, stérilise et propose à l’adoption. Le droit animalier va me fournir de solides connaissances, à la fois pour connaître les démarches que l’on peut entreprendre en tant qu’association et pour livrer aux élèves des informations claires et rigoureuses, qui vont au-delà de ma sensibilité propre, affirme-t-elle.

Il y a encore Pierre Georget, cheveux assortis à sa chemise blanche, qui a dirigé une entreprise de la grande distribution, avant de reprendre ses études en droit afin d’aider les associations à faire des propositions juridiques qui tiennent la route et mener du lobbying auprès des parlementaires.

Reste que si une bonne connaissance du droit peut conduire à une évolution de la jurisprudence, les grandes réformes concernant l’exploitation animale ne peuvent se faire dans les prétoires mais au Parlement, assure Lucille Boisseau-Sowinski. D’ici là, le DU de Limoges, facturé entre 250 et 1 050 euros selon le profil des étudiants (hors droits d’inscription universitaires), espère nouer des liens avec des écoles vétérinaires et de la magistrature pour la rentrée 2017.

Source : lemonde.fr Audrey Garric

Notre petite association a besoin de vous pour continuer les sauvetages, faites un don !

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Attention, recrudescence des cas de parvovirose canine !

 

Youki, jeune chien moitié pinscher moitié jack russel,
est récemment décédé de cette maladie dans le Valenciennois

youki

Publié le 19/10/2016 à 08:05

D’inquiétants cas de parvovirose chez des chiens dans le Nord-est toulousain

L’inquiétude est montée d’un cran ces jours-ci dans le nord-est toulousain où plusieurs cas de parvovirose ont été recensés. Cette maladie qui touche les chiens a été identifiée notamment à Lespinasse, Bouloc et Saint-Jory où des vétérinaires qui y ont été confrontés plus qu’à l’accoutumée tirent la sonnette d’alarme. La clinique vétérinaire Tigra à Saint-Jory confirme ainsi avoir soigné « cinq chiens dont quelques chiots non vaccinés depuis la rentrée. À ce jour, bonne nouvelle, tous sont sauvés. Une affichette informe cependant la clientèle du risque de cette maladie. À Lespinasse, c’est une dizaine de chiens qui ont été recensés malades… Beaucoup de vétérinaires restent du coup inquiets face à la difficulté à « assurer la prise en charge d’un trop grand nombre d’animaux contaminés ».

Contacté hier, Olivier Dossin, spécialiste en médecine interne du chien et du chat à l’École Nationale Vétérinaire de Toulouse reconnaît lui aussi « une légère hausse des cas vus depuis septembre, environ une dizaine alors que la moyenne annuelle est de 15 ». Mais, dit-il, « il ne faut pas tomber dans la psychose. Cette situation préoccupante peut parfois se produire. Elle doit surtout entraîner une démarche indispensable : la vaccination. Elle est très efficace. Les populations à risque sont les chiots dès leur plus jeune âge. Il faut ensuite poursuivre cette vaccination durant la vie de l’animal. Ce virus est très résistant. Le taux de mortalité est d’environ 14 %, ce qui n’est pas négligeable… »

Virus résistant

Le parvovirus canin (CPV) est très résistant dans le milieu extérieur ainsi qu’à de nombreux désinfectants. Il résiste au froid et dans le temps (15 jours). La contagion se fait donc principalement dans les espaces publics souillés par les déjections de chiens malades. En ce moment, les balades doivent plus encore être surveillées.

Source : LADEPECHE.fr, Laurence Desmoulin et Emmanuel Haillot

Famille d'accueil chats

Conseil pratique : Le parvovirus, très contagieux, peut persister longtemps dans l’environnement, sur les murs ou sur les sols. Le nettoyage des surfaces à la javel dans de l’eau froide (uniquement !) est l’un des seuls moyens de se débarrasser de ce virus.

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Désespéré, un chien saute d’un balcon !

Il y était enfermé, sans eau, en plein soleil !

Dimanche 10 juillet 2016, un chien a sauté d’un balcon situé au troisième étage d’un immeuble, où il avait été enfermé par ses propriétaires, à Polinyà (près de Barcelone), en Espagne.

Après y avoir passé de longues heures, par une forte chaleur et sans eau, le pauvre animal a eu un geste désespéré afin de se tirer de cette situation insoutenable.

Dans cette vidéo filmée par les pompiers – dépêchés sur place grâce aux appels des voisins – on le voit en effet tenter de s’extirper du balcon en escaladant dangereusement la rambarde. Tout en poussant des cris glaçants, l’animal tente de sauter puis tombe dans le vide.

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Fort heureusement, des voisins ayant assisté à la scène ont pu anticiper sa chute : ils ont déplié un auvent afin d’amortir sa chute, ce qui a permis de sauver la vie du chien.

Les pompiers venaient d’arriver sur place et étaient en train d’installer leur échelle au moment où le chien s’est jeté dans le vide. Il a alors immédiatement été pris en charge par un vétérinaire et est aujourd’hui sain et sauf.

La Police de la commune de Polinyà a publié l’impressionnante vidéo de la chute du chien sur sa page Facebook afin de responsabiliser les propriétaires d’animaux de compagnie, en particulier en été : « Voici les conséquences quand on laisse un chien sur un balcon pendant des heures, par une forte chaleur et sans eau. »

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Les images, partagées massivement sur le web, ont provoqué des milliers de réactions d’indignation à travers l’Espagne. Les officiers de police ont par la suite déclaré que le chien se portait bien et se sont excusés d’avoir heurté la sensibilité de certains internautes, choqués par les images.

Les propriétaires du chien ont depuis été identifiés, interpellés et risquent une condamnation pour maltraitance animale.

Sources : holidogTimes et Policia Local Polinyà

Famille d'accueil chats

Espérons que ces « maîtres » complètement irresponsables seront punis sévèrement !

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Il tente de noyer son chiot, à Rouen

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Le propriétaire d’un chiot croisé Labrador a été placé en garde à vue le 12 juillet 2016, pour maltraitance sur animal (Photo DR)

12 juillet 2016

Le « maître » serait un récidiviste

Un homme a été placé en garde à vue à Rouen (Seine-Maritime), le 12 juillet 2016. Il aurait tenté de noyer son chiot croisé Labrador. Il avait déjà été interpellé le 25 mai.

Selon la Société normande de protection aux animaux (SNPA) de Rouen (Seine-Maritime), la police est intervenue chez le propriétaire d’un chien qui aurait tenté de noyer un chiot croisé Labrador, âgé de cinq mois, mardi 12 juillet 2016. Le 25 mai dernier, ce même homme aurait déjà maltraité un autre chien, un Pinscher nain, qu’il avait frappé à coups de balai, au prétexte qu’il n’était pas propre. La SNPA avait alors porté plainte. Le mis en cause a été entendu par les enquêteurs dans le cadre d’une garde à vue. Une enquête est ouverte pour approfondir ses responsabilités précises dans cette affaire.

Il aurait tenté de noyer un chiot Labrador

La SNPA va porter plainte une deuxième fois contre cet homme. C’est une fois encore sa voisine qui a alerté la police. Quand les fonctionnaires sont arrivés sur les lieux, le mis en cause a soutenu qu’il donnait un bain au chiot. Mais l’animal est arrivé dans le coma à la SNPA et a été transporté à la clinique des Bruyères où il se trouve encore actuellement. « Il a subi des coups sur le corps, à la tête et il ne peut pas tenir sur ses pattes », indique le service de communication de la SNPA.

Le petit chien entre la vie et la mort

Le pronostic vital de l’animal serait toujours engagé, mais la SNPA regrette que cet homme, déjà interpellé pour des faits similaires, ait pu se procurer un deuxième animal.

« S’il a pu reprendre un chien, c’est vraisemblablement grâce aux annonces publiées sur les réseaux sociaux ou sur les sites de petites annonces comme Le Bon Coin, où les animaux sont donnés. Les animaux ne sont pas assez protégés par la justice », estime la SNPA.

Quoi qu’il en soit, les défenseurs des animaux gardent bon espoir de sauver le petit Labrador et invitent toutes les personnes qui voudraient suivre son état de santé, à se connecter sur le site de la SNPA. La société normande de protection aux animaux rappelle que « si vous êtes témoin d’acte de maltraitance, vous pouvez alerter la police ou contacter les associations de défense des animaux ».

Source : Normandie 76 Actu

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Photo d’illustration

27 mai 2016

Un petit chien, à Rouen, maltraité parce qu’il n’était « pas propre »

Un homme de 58 ans est poursuivi pour mauvais traitement sur animal. Mercredi 25 mai 2016, à Rouen (Seine-Maritime), son chien a été retrouvé gisant dans une mare de sang.

C’est une voisine qui aurait donné l’alerte, inquiète d’entendre, depuis plusieurs jours, les gémissements incessants d’un animal, dans un appartement voisin du sien, rue François Couperin, à Rouen (Seine-Maritime). Un équipage de police s’est rendu sur les lieux, mercredi 25 mai 2016, vers 23 h 30. Les fonctionnaires sont allés frapper à la porte de l’appartement en question. Le locataire leur a ouvert et, dans un premier temps, a affirmé qu’il n’avait pas d’animal. Mais les policiers ont, eux aussi, entendu les gémissements d’un chien.

Le petit chien gisait dans une mare de sang

Le locataire les a laissés entrer. Dans le couloir, un petit chien, un Pinscher nain, gisait allongé dans une mare de sang au milieu de ses excréments. « Quand il a vu les policiers, il a tenté de se lever mais ne réussissait pas à se tenir sur ses pattes », relate une source judiciaire à Normandie-actu.

Frappé avec un manche à balai

Le propriétaire du chien a alors expliqué aux fonctionnaires de police qu’il aurait frappé le petit animal avec un manche à balai parce qu’il n’était pas propre. Il ne l’aurait pas non plus sorti depuis trois jours, date à laquelle il aurait fait l’acquisition de l’animal auprès de son précédent propriétaire.

Le petit chien présentait de nombreuses blessures : un déplacement de la mâchoire notamment, mais aussi une plaie dans la gueule.

Procédure pour mauvais traitement sur animal

Les policiers ont pris l’animal en charge : il a été examiné par un vétérinaire, à la SPA. Il devait être anesthésié, pour permettre un examen approfondi. Le propriétaire de l’animal, âgé de 58 ans, devrait pour sa part faire l’objet d’une procédure, prochainement, pour mauvais traitement à animal.

Source : Normandie 76 Actu

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Parrainer un chat