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Valentin a frôlé la mort pour la deuxième fois !
Une cagnotte pour Valentin sur Urgence Animaux !
Valentin a été confié à l’association avec ses 4 frères et sœurs. Cette portée de chatons venait d’être sauvée des mains de jeunes aux mauvaises intentions dans une cité sensible.
Nous les avons pris en charge pour les biberonner, prévenant les personnes qui nous les avaient amenées que nous n’étions pas sûres de pouvoir sauver Valentin et l’une de ses sœurs qui nous semblaient en mauvais état.
Nous avons découvert ensuite que sa sœur avait été aspergée d’un liquide huileux, nous l’avons lavée sur le conseil de notre vétérinaire. Parmi les autres, deux ont la queue plus ou moins cassée, l’un a les hanches abîmées. Valentin était le plus chétif de la portée et avait un gros coryza. Grâce à nos soins attentifs, nous avons finalement réussi à sauver les 5 chatons mais que d’angoisse au début…
Valentin a fait un blocage urinaire soudain, nous l’avons conduit en urgence chez notre vétérinaire qui l’a pris en charge le 19 juin 2017.
Il l’a opéré aussitôt pour lui poser une sonde afin de vider sa vessie. Il a eu très peur de le perdre car son taux d’urée était supérieur à 300 mg (sa machine ne calcule pas au-delà de 300), sa créa à plus de 10 mg (idem). Avec un tel taux d’urée, certains chats qu’il a opérés sont décédés ne supportant pas l’anesthésie et il était très pessimiste.
Heureusement, notre Valentin l’a supportée, Première victoire mais ce n’était pas gagné pour autant car il devait aussi ne pas se bloquer de nouveau. Il est resté pendant ses 3 premiers jours d’hospitalisation avec sa sonde et sa perfusion. Il ne mangeait pas, nous devions attendre le mercredi pour que le vétérinaire retire sa sonde et connaître ses nouveaux résultats. Attente interminable… nous sommes allées le voir chaque soir tout pendant son hospitalisation et nous constations quand même qu’il allait chaque jour un peu mieux.
Mercredi 21 juin au soir, le vétérinaire lui a retiré sa sonde ainsi que ses agrafes sans anesthésie. Voyant Valentin très gentil, il a tenté pour lui éviter une nouvelle anesthésie et Valentin a collaboré courageusement. De nouvelles analyses ont ensuite été effectuées et là, les taux d’urée et de créa étaient tous deux revenus à la normale. Quel soulagement !
Jeudi 22 juin, Valentin est resté en observation car il n’avait pas bien uriné seul durant la nuit. Le vétérinaire lui a fait une vidange manuelle et l’a mis sous surveillance pour la journée. Nous sommes allées le chercher le soir, une fois que tout semblait rentré dans l’ordre.
Depuis, je dois quand même le surveiller de près, vérifier s’il mange, boit et urine bien. Je dois aussi lui administrer son traitement : un antibiotique et un antispasmodique génito-urinaire pour la douleur. Au début, je l’ai fait boire à la pipette car il ne buvait pas du tout. Il n’a commencé à manger que lorsque je lui ai proposé des mousselines. Maintenant, il mange aussi un peu de croquettes. Il urine souvent par petites quantités. Je dois aussi le tâter pour vérifier que sa vessie se vide bien. Valentin revient de très loin mais je ne crie pas encore complètement victoire car il est en convalescence, a perdu beaucoup de poids et je dois le surveiller de près pour encore quelque temps…
Le vétérinaire ignore ce qui a provoqué son blocage urinaire. Dans un tiers des cas, c’est alimentaire, dû aux croquettes bas de gamme qui provoquent des cristaux. L’échographie n’a pas montré d’anomalies.
Mais Valentin n’en a aucun, le vétérinaire a vérifié deux fois. Dans un autre tiers, c’est dû au stress. Mais le vétérinaire, qui a eu Valentin à la clinique pendant quatre jours, repousse cette option car il a bien vu que Valentin est tout sauf un chat stressé.
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Il tente de noyer son chiot, à Rouen
12 juillet 2016
Le « maître » serait un récidiviste
Un homme a été placé en garde à vue à Rouen (Seine-Maritime), le 12 juillet 2016. Il aurait tenté de noyer son chiot croisé Labrador. Il avait déjà été interpellé le 25 mai.
Selon la Société normande de protection aux animaux (SNPA) de Rouen (Seine-Maritime), la police est intervenue chez le propriétaire d’un chien qui aurait tenté de noyer un chiot croisé Labrador, âgé de cinq mois, mardi 12 juillet 2016. Le 25 mai dernier, ce même homme aurait déjà maltraité un autre chien, un Pinscher nain, qu’il avait frappé à coups de balai, au prétexte qu’il n’était pas propre. La SNPA avait alors porté plainte. Le mis en cause a été entendu par les enquêteurs dans le cadre d’une garde à vue. Une enquête est ouverte pour approfondir ses responsabilités précises dans cette affaire.
Il aurait tenté de noyer un chiot Labrador
La SNPA va porter plainte une deuxième fois contre cet homme. C’est une fois encore sa voisine qui a alerté la police. Quand les fonctionnaires sont arrivés sur les lieux, le mis en cause a soutenu qu’il donnait un bain au chiot. Mais l’animal est arrivé dans le coma à la SNPA et a été transporté à la clinique des Bruyères où il se trouve encore actuellement. « Il a subi des coups sur le corps, à la tête et il ne peut pas tenir sur ses pattes », indique le service de communication de la SNPA.
Le petit chien entre la vie et la mort
Le pronostic vital de l’animal serait toujours engagé, mais la SNPA regrette que cet homme, déjà interpellé pour des faits similaires, ait pu se procurer un deuxième animal.
« S’il a pu reprendre un chien, c’est vraisemblablement grâce aux annonces publiées sur les réseaux sociaux ou sur les sites de petites annonces comme Le Bon Coin, où les animaux sont donnés. Les animaux ne sont pas assez protégés par la justice », estime la SNPA.
Quoi qu’il en soit, les défenseurs des animaux gardent bon espoir de sauver le petit Labrador et invitent toutes les personnes qui voudraient suivre son état de santé, à se connecter sur le site de la SNPA. La société normande de protection aux animaux rappelle que « si vous êtes témoin d’acte de maltraitance, vous pouvez alerter la police ou contacter les associations de défense des animaux ».
Source : Normandie 76 Actu
27 mai 2016
Un petit chien, à Rouen, maltraité parce qu’il n’était « pas propre »
Un homme de 58 ans est poursuivi pour mauvais traitement sur animal. Mercredi 25 mai 2016, à Rouen (Seine-Maritime), son chien a été retrouvé gisant dans une mare de sang.
C’est une voisine qui aurait donné l’alerte, inquiète d’entendre, depuis plusieurs jours, les gémissements incessants d’un animal, dans un appartement voisin du sien, rue François Couperin, à Rouen (Seine-Maritime). Un équipage de police s’est rendu sur les lieux, mercredi 25 mai 2016, vers 23 h 30. Les fonctionnaires sont allés frapper à la porte de l’appartement en question. Le locataire leur a ouvert et, dans un premier temps, a affirmé qu’il n’avait pas d’animal. Mais les policiers ont, eux aussi, entendu les gémissements d’un chien.
Le petit chien gisait dans une mare de sang
Le locataire les a laissés entrer. Dans le couloir, un petit chien, un Pinscher nain, gisait allongé dans une mare de sang au milieu de ses excréments. « Quand il a vu les policiers, il a tenté de se lever mais ne réussissait pas à se tenir sur ses pattes », relate une source judiciaire à Normandie-actu.
Frappé avec un manche à balai
Le propriétaire du chien a alors expliqué aux fonctionnaires de police qu’il aurait frappé le petit animal avec un manche à balai parce qu’il n’était pas propre. Il ne l’aurait pas non plus sorti depuis trois jours, date à laquelle il aurait fait l’acquisition de l’animal auprès de son précédent propriétaire.
Le petit chien présentait de nombreuses blessures : un déplacement de la mâchoire notamment, mais aussi une plaie dans la gueule.
Procédure pour mauvais traitement sur animal
Les policiers ont pris l’animal en charge : il a été examiné par un vétérinaire, à la SPA. Il devait être anesthésié, pour permettre un examen approfondi. Le propriétaire de l’animal, âgé de 58 ans, devrait pour sa part faire l’objet d’une procédure, prochainement, pour mauvais traitement à animal.
Source : Normandie 76 Actu
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